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Achat, location ou partage : quelle solution pour un cabinet de médecines douces ?

Carlo

Carlo

Responsable rédaction articles de blog

S’installer en tant que praticien en médecines douces ne se résume pas à définir son offre ou à trouver des patients. L’un des choix structurants concerne le lieu d’exercice : faut-il acheter un cabinet, en louer un ou le partager avec d’autres praticiens ?

Chaque solution a ses avantages et ses limites, et la bonne option dépend du profil, du budget et des ambitions du praticien. Hypnothérapeutes, sophrologues, naturopathes, psychanalystes et psychothérapeutes trouveront ici un panorama complet pour éclairer leur décision.

L’achat de cabinet : sécurité et investissement long terme

Avantages

  • Vous constituez un patrimoine immobilier.
  • Vous êtes totalement libre de l’aménagement et de l’organisation.
  • Pas de dépendance vis-à-vis d’un propriétaire ou d’autres praticiens.

Limites

  • Besoin d’un capital de départ ou d’un crédit important.
  • Manque de flexibilité : difficile de changer de lieu si la patientèle évolue.
  • Charges supplémentaires (entretien, taxe foncière).

Exemple : un psychanalyste installé depuis 15 ans choisit l’achat pour sécuriser son activité et préparer sa retraite. L’investissement lui permet de capitaliser sur un bien tout en exerçant.

La location de cabinet : souplesse et accessibilité

Avantages

  • Investissement initial limité.
  • Facilité pour démarrer rapidement.
  • Possibilité de changer de lieu si besoin (zone géographique, évolution de la patientèle).

Limites

  • Loyer mensuel parfois élevé.
  • Engagement contractuel (bail professionnel ou commercial).
  • Pas de constitution de patrimoine immobilier.

Exemple : un naturopathe choisit la location d’un cabinet en centre-ville. Cela lui coûte 800 € par mois mais lui permet d’être visible, accessible et crédible auprès de sa patientèle.

Le partage de cabinet : réduction des coûts et synergies

Avantages

  • Charges mutualisées (loyer, électricité, internet).
  • Flexibilité dans l’occupation : jours et plages horaires définis.
  • Possibilité de créer des synergies avec d’autres praticiens.

Limites

  • Disponibilité limitée (selon les créneaux partagés).
  • Nécessité de coordonner avec d’autres professionnels.
  • Moins de liberté dans l’aménagement du lieu.

Exemple : une sophrologue débute son activité en partageant un cabinet avec un hypnothérapeute. Elle paie seulement 250 € par mois et profite de la dynamique collective.

Comment choisir la bonne option ?

Votre choix dépend de plusieurs critères :

  • Votre budget : si vous débutez, le partage ou la location sont plus adaptés.
  • Votre patientèle cible : un cabinet partagé dans un centre paramédical peut offrir plus de visibilité.
  • Votre stratégie long terme : si vous voulez constituer un patrimoine, l’achat devient une option intéressante après quelques années.

Conclusion

Il n’existe pas de solution unique. Chaque praticien doit trouver l’équilibre entre sécurité, flexibilité et coûts.

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